Aperçu historique
Bien qu’ils se convergeaient tous vers un seul but, celui de traiter la ville malade, un seul courant, le courant fonctionnaliste, a été retenu et appliqué amplement au détriment des deux autres. Cependant, les années qui ont succédé à son application ne connaissaient pas une situation optimale, et les conséquences apparues ont été à leur tour un appel pour une remise en question de ce courant, et alors, une cause pour rechercher, en urgence, une autre solution encore.
Et ainsi, un certain effet de de boucle a été créé depuis l’apparition des problèmes suite à la révolution industrielle jusqu’aux nouveaux problèmes conséquents au courant progressiste. Ces phases forment le schéma suivant :
Cette question pertinente a suscité beaucoup de réflexions et débats sur le paramètre à privilégier pour trouver la meilleure solution. Ainsi, une nouvelle manière de penser la ville est née ; celle qu’on appellera Projet Urbain.
1. Aperçu historique :
Si on devait positionner le Projet Urbain sur la frise chronologique, il aurait pris place dans la suite du Modernisme. Mais la genèse de cette approche plonge ses racines dans l’approche morphologique ou typo-morphologique pour s’opposer au fonctionnalisme qui coupe avec le passé. Dans ce cas, cette approche établie une reconnexion avec la passé et l’histoire de la ville. Donc, selon ce principe de reconnexion avec la passé, le projet urbain suit la même logique et tend alors à revoir le passé de la ville, le mode de vie et les pratiques des habitants pour programmer « le futur ».
2. Conditions d’émergence :
Sur la même piste de réflexion élaborée par l’approche typo-morphologique, une tentative est apparue en Italie, à Bologne précisément, vers les années 60, et qui se fondait sur le principe Recupero urbain où on est appelé à planifier en tenant compte de la ville existante dans sa globalité, c.à.d, on doit penser les différentes échelles, les tissus urbains et social et les habitants.
Après les années 70, cette démarche s’est diffusée en Europe, en France en particulier, où en 1983, et avec la loi de décentralisation, la notion du Projet Urbain se développe et conduit par la suite à un urbanisme plus ouvert et négociable.
Et ainsi, un certain effet de de boucle a été créé depuis l’apparition des problèmes suite à la révolution industrielle jusqu’aux nouveaux problèmes conséquents au courant progressiste. Ces phases forment le schéma suivant :
Cette question pertinente a suscité beaucoup de réflexions et débats sur le paramètre à privilégier pour trouver la meilleure solution. Ainsi, une nouvelle manière de penser la ville est née ; celle qu’on appellera Projet Urbain.
1. Aperçu historique :
Si on devait positionner le Projet Urbain sur la frise chronologique, il aurait pris place dans la suite du Modernisme. Mais la genèse de cette approche plonge ses racines dans l’approche morphologique ou typo-morphologique pour s’opposer au fonctionnalisme qui coupe avec le passé. Dans ce cas, cette approche établie une reconnexion avec la passé et l’histoire de la ville. Donc, selon ce principe de reconnexion avec la passé, le projet urbain suit la même logique et tend alors à revoir le passé de la ville, le mode de vie et les pratiques des habitants pour programmer « le futur ».
2. Conditions d’émergence :
Sur la même piste de réflexion élaborée par l’approche typo-morphologique, une tentative est apparue en Italie, à Bologne précisément, vers les années 60, et qui se fondait sur le principe Recupero urbain où on est appelé à planifier en tenant compte de la ville existante dans sa globalité, c.à.d, on doit penser les différentes échelles, les tissus urbains et social et les habitants.
Après les années 70, cette démarche s’est diffusée en Europe, en France en particulier, où en 1983, et avec la loi de décentralisation, la notion du Projet Urbain se développe et conduit par la suite à un urbanisme plus ouvert et négociable.
Last modified: Thursday, 29 September 2016, 11:45 AM